L’argent ne fait pas le bonheur des pauvres

Guillaume a  passé une bonne partie de son enfance à manger des pâtes, non par goût de la gastronomie italienne mais parce que c’était un des plats les plus accessible financièrement. Adulte, il devient animateur, métier qui renforcera sa passion pour cet aliment à base de blé. Aujourd’hui, il se questionne sur la place du pauvre dans la société capitaliste.

C’est une conférence sur l’économie. J’y raconte mon parcours, et je partage le travail de l’OXFAM, de l’observatoire des inégalités, de la fondation Abbé Pierre et de Bernard Friot. Entremêlé d’anecdotes sur ma vie, entre les galères de Pôle Emploi et les coupures d’eau, je raconte aussi l’histoire de certains enfants que j’ai put rencontrer pendant mes expériences d’animateur. J’aborde également une de mes passions, le jeu vidéo, et qui a été pour moi, contrairement aux idées reçues, un vecteur de lien social tout au long de ma vie. Sur scène, je fais quelque chose de rare, je suis un pauvre qui parle de pauvreté.